Je cède à la mode...
Bienvenue sur mon blog !
Pour se faire entendre, il faut se faire lire. J'ai peu de moyens pour m'exprimer, mais beacuoup à dire. Cruel paradoxe. Ce blog, j'y pensais depuis longtemps, mais j'avais peur que mes maîtres prennent ombrage de mes velléités, et je n'ai jamais osé leur en miauler deux mots. Aujourd'hui, j'ai décidé de faire fi de ces scrupules. Après tout, on n'a que sept vies.
Dès qu'ils ont quitté la scène ce matin, je me suis mis à l'oeuvre. J'ai allumé mon ordinateur préféré, le blanc, celui qui ronronne très doucement et à qui je dois mon nom. L'autre, je n'en voudrais pour rien au monde. Il fait un boucan de tous les diables, il faut l'éteindre et le rallumer sans arrêt, il est gros et moche. Oui : vous vous rendrez compte, au fil de mes billets, que j'ai des idées très arrêtées sur l'esthétique, la culture, la politique et tout un tas d'autres choses futiles dont les humains adorent parler... Ce blog sera tout sauf creux, du moins l'espéré-je !
Bon, comme je n'ai pas trop de temps ce matin (j'ai toujours peur que l'un ou l'autre revienne à l'improviste, ça leur arrive parfois...), je vais m'arrêter là pour aujourd'hui. Mais je vous invite à rester à l'écoute, par exemple en vous abonnant à ma newsletter. Ainsi, vous serez prévenu(es) par courriel dès que j'écrirai un nouvel article. Pour les plus connaisseurs, consultez le flux de syndication pour être tenu(es) au courant de la vie de mon blog.
Ah, juste une dernière chose : ne prévenez pas mes maîtres , s'il vous plaît. Je préfère que cela reste entre nous ;-)
@mitiés,
Tiger
Pour se faire entendre, il faut se faire lire. J'ai peu de moyens pour m'exprimer, mais beacuoup à dire. Cruel paradoxe. Ce blog, j'y pensais depuis longtemps, mais j'avais peur que mes maîtres prennent ombrage de mes velléités, et je n'ai jamais osé leur en miauler deux mots. Aujourd'hui, j'ai décidé de faire fi de ces scrupules. Après tout, on n'a que sept vies.
Dès qu'ils ont quitté la scène ce matin, je me suis mis à l'oeuvre. J'ai allumé mon ordinateur préféré, le blanc, celui qui ronronne très doucement et à qui je dois mon nom. L'autre, je n'en voudrais pour rien au monde. Il fait un boucan de tous les diables, il faut l'éteindre et le rallumer sans arrêt, il est gros et moche. Oui : vous vous rendrez compte, au fil de mes billets, que j'ai des idées très arrêtées sur l'esthétique, la culture, la politique et tout un tas d'autres choses futiles dont les humains adorent parler... Ce blog sera tout sauf creux, du moins l'espéré-je !
Bon, comme je n'ai pas trop de temps ce matin (j'ai toujours peur que l'un ou l'autre revienne à l'improviste, ça leur arrive parfois...), je vais m'arrêter là pour aujourd'hui. Mais je vous invite à rester à l'écoute, par exemple en vous abonnant à ma newsletter. Ainsi, vous serez prévenu(es) par courriel dès que j'écrirai un nouvel article. Pour les plus connaisseurs, consultez le flux de syndication pour être tenu(es) au courant de la vie de mon blog.
Ah, juste une dernière chose : ne prévenez pas mes maîtres , s'il vous plaît. Je préfère que cela reste entre nous ;-)
@mitiés,
Tiger